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Edito

 
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(espace de création littéraire)


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16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 07:08

Des jours et des lunes,

Des saisons, des bouts de vie

A tes côtés,

A te regarder grandir et puis courir

 

Ma fille, ma fierté,

 

A trop te regarder,

A trop vouloir te protéger,

J’ai oublié de te voir grandir…

Quinze années, et combien de lunes

A surveiller chacun de tes pas,

Ma fille, ma fierté,

Laisse-moi encore t’aimer

Le temps qu’il me sera donné,

Une vie, une éternité,

Même dans un ailleurs,

Même si un jour nous devons être séparées,

Sache que tu es

Dans mon cœur à tout jamais

Cette petite étincelle

Qui ne peut s’éteindre,

Cette joie de vivre

Qui met du piment dans mon cœur,

Ce bonheur de la vie.

 

Et au-delà des jours et des lunes,

Des saisons, des bouts de vie,

A tes côtés,

A te regarder papillonner puis doucement

T’envoler,

Je serai toujours là,

Pour toi,

Pour la petite étincelle

Qui a fait de ma vie

Un bonheur de tous les jours

De t’avoir à mes côtés

Et de te regarder t’épanouir.

 

Où que je sois,

Où que tu soies,

Sache qu’à jamais

Je t’aimerais,

 

Ma fille, ma fierté.

 

Maman, le 16 Novembre 2008

 

 

14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 07:21

Muse de Guillaume Apollinaire, Marie Laurencin (née le 31 octobre 1885 de père inconnu) a commencé de peindre dès 1902, bien avant sa rencontre avec le poète en 1907. Elle fréquente très tôt les habitués du Bateau-Lavoir. Peintres, poètes, critiques, amateurs d’art, marchands de tableaux. Parmi les plus célèbres d’entre eux, Vlaminck, Derain, Picasso, Braque, Matisse, Max Jacob, André Salmon, Gertrude et Léo Stein, Kahnweiler. Tous artistes d’avant-garde. Tout comme Guillaume Apollinaire dans le domaine de l’écriture. Un monde essentiellement masculin dans lequel Marie Laurencin parvient à trouver sa place. Et à charmer. Elle forme avec le poète d’Alcools, ardent défenseur de la peinture « cubiste » et de la « modernité », le couple légendaire du Montmartre d’avant-guerre.

 

    La peinture de Marie Laurencin, toute de poésie et d’élégance vaporeuse, s’attache davantage à la nuance qu’à l’expression. Marie Laurencin consacre son art à exécuter les portraits de ceux qui l’entourent. Essentiellement ses amis, parmi lesquels figurent Sonia et Robert Delaunay.

 

    À la mort de Guillaume Apollinaire, dont elle s’était séparée cette même année 1912, le chagrin de Marie Laurencin est immense. Le 8 juin 1956, elle meurt. Elle emporte dans sa tombe une lettre d’amour écrite par Guillaume Apollinaire : La Chanson du Mal-Aimé.

 

 

 

Pour en savoir plus, et plus en détail : http://www.henripigaillem.com/article-2185464.html