Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Edito

 
BIENVENUE SUR MON BLOG
 
Ces pages sont mes empreintes, mon coeur, mon sang. Elles sont nées de ce désir insatiable d'exister et de me sentir exister et surtout de laisser une trace.
Vous pourrez à tout moment me faire part de vos commentaires en cliquant
ICI .

 

 

 


hobbies
compteur pour site web gratuit sans pub



âmes sont passées par mon blog... merci !

 

 
 

De vous à moi...

 
NOUVEAUTE

Venez découvrir mon deuxième blog :
 
En vers et à contre-pied

(espace de création littéraire)


****

Creative Commons License


Ce site est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Aucune reproduction, même partielle, autre que celles prévues à l'article L 122-5 du code de la propriété intellectuelle, ne peut être faite de ce site sans l'autorisation expresse de l'auteur"

 

 

 

8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 07:59

 Juan Jamon Jimenez (Poéte espagnol, Maguer, Huelva, 23 décembre 1881 – Porto Rico, 29 mai 1958)

     “
Écrire n'est qu'une préparation pour ne plus écrire, pour l'état de grâce poétique, intellectuel ou sensitif. Devenir soi-même poésie, non plus poète.” J. R. Jiménez.

    De dix-huit ans l'aîné de Lorca et de six ans le cadet de son ami Machado, Juan Ramon Jimenez est né en décembre 1881 à Moguer, [“la blanche merveille”] petite ville andalouse de la province de Huelva. Son entrée dans l'âge adulte est marquée par la mort subite du père – le poète a dix-neuf ans. De ce deuil, il conservera sa vie durant une extrême fragilité, un tempérament angoissé et mélancolique, prompt au retrait et à l'isolement.
     En ces premières années du siècle cependant, Jimenez déploie une activité créatrice intense qui ne tarde pas à faire de lui l'un des écrivains les plus en vue de la capitale espagnole. Helios, la revue qu'il fonde en 1903, défend l'esthétique moderniste, illustrée notamment par Ruben Dario. En 1916, il se marie à New York avec Zenobia amprubí Aymar et revient à Madrid.
     Son œuvre arrive à maturité : de l'idéal romantique, d'une certaine outrance égotiste et décadente – Lorca parle de la “terrible exaltation de son moi – elle s'élève peu à peu vers l'espace plus aéré de la “poesia desnuda”.
     Moins radicalement engagé que Lorca, rêvant d'une troisième force, Jimenez s'exile néanmoins en 1936. Les États-Unis, Cuba, Porto-Rico enfin, où le couple s'installe définitivement en 1951. En 1956, deux ans avant sa mort, il reçoit la consécration du prix Nobel. Mais l'agonie de Zenobia, qui mourra trois jours après cette attribution, transforme sa joie en tristesse profonde.

 

Extrait de http://www.jose-corti.fr/index.html

A lire : http://www.los-poetas.com/d/juanr.htm

 

 

commentaires

N
Merci Fethi !Nanou
Répondre
N
Et oui, Jim..Nanou
Répondre
F
Très beau blog et très belles créations.Bravo
Répondre
J
Oh cette citation... quelle justesse et que de bons augures quand on s'y applique...Bonne soirée Nanou :0059:
Répondre