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22 août 2008 5 22 /08 /août /2008 07:15

Je n’ai malheureusement pas trouvé énormément d’informations sur Jean Brunet, celles indiquées ci-dessous sont tirées du site « notreprovence.fr »

Né en Avignon en 1823, Jean Brunet est un des sept membres fondateurs du Félibrige, avec Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Théodore Aubanel, Paul Giera, Anselme Mathieu et Alphonse Tavan. Poète provençal mélancolique, Brunet était un utopiste, rêvant d'un Paradis terrestre. Il trouva dans le Félibrige un mouvement démocratique qui collait exactement aux envies et à la fougue de ce jeune homme.

Brunet ne consacra que peu de temps de sa vie à l'écriture, seulement quelques poésies tristounettes publiées dans l'Armana, sous le pseudonyme de Felibre de l'Arc-de-Sedo. Son occupation principale a résidé dans l'élaboration d'un grand répertoire contenant des proverbes provençaux qu'il recueillait de toutes parts. Cet ouvrage n'a jamais été publié et se trouve aujourd'hui gardé dans la Bibliothèque du Musée Arbaud à Aix-en-Provence.. Il a tout de même édité trois extraits sous le nom Bachiquello e Proverbi sus la Luno, en 1876, puis Etudes des mœurs provençales par les proverbes et dictons, en 1882 et 1884.

16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 07:28

Frédéric Mistral, né le 8 septembre 1830, à Maillane (Bouches-du-Rhône), où il est mort le 25 mars 1914, est un écrivain et un lexicographe français de langue provençale (occitane), membre fondateur du Félibrige, membre de l'Académie de Marseille et Prix Nobel de littérature en 1904. Son nom en provençal est Frederi Mistral (/Mistrau) selon la norme mistralienne ou Frederic Mistral (/Mistrau) selon la norme classique.

Mistral est un fils de ménagers aisés (François Mistral et Adélaide Poulinet, par lesquels il est apparenté aux plus anciennes familles de Provence : Cruvelier, Expilly, Roux nés Ruffo di Calabria, elles-mêmes très étroitement apparentées entre elles ; marquis d'Aurel). Mistral porte le prénom de Frédéric en mémoire « d'un pauvre petit gars qui, au temps où mon père et ma mère se parlaient, avait fait gentiment leurs commissions d'amour, et qui, peu de temps après, était mort d'une insolation. »[1]. Mistral ne va à l'école qu'à partir de l'âge de neuf ans.

Après avoir passé son baccalauréat à Nîmes, il étudie le droit à Aix-en-Provence de 1848 à 1851, et se fait alors le chantre de l'indépendance de la Provence et surtout du provençal « première langue littéraire de l'Europe civilisée ». C'est au cours de ses études de droit qu'il apprend l'histoire de la Provence, jadis État indépendant. Émancipé par son père, il prend alors la résolution : « de relever, de raviver en Provence le sentiment de race (...) ; d'émouvoir cette renaissance par la restauration de la langue naturelle et historique du pays (...) ; de rendre la vogue au provençal par le souffle et la flamme de la divine poésie ». Pour Mistral, le mot race désigne un « peuple lié par la langue, enraciné dans un pays et dans une histoire ».

Mistral reçoit le Prix Nobel de littérature en 1904 conjointement avec José Echegaray. Il consacrera le montant de ce prix à la création du Museon Arlaten à Arles.

Marié à une bourguignonne, Marie-Louise Rivière, il n'aura pas d'enfants et meurt le 25 mars 1914 à Maillane.

Son œuvre capitale est Mirèio (Mireille), publié en 1859 après huit ans d'effort créateur. Mirèio raconte l'amour de Vincent et Mireille, une belle provençale. Charles Gounod en fait un opéra en 1863. Mistral trouve ici l'occasion de proposer sa langue mais aussi de faire partager la culture d'une région en parlant notamment des Saintes-Maries-de-la-Mer.

Mistral est l'auteur de Lou Tresor dóu Felibrige (1878-1886), qui reste à ce jour le dictionnaire le plus riche de la langue occitane, et l'un des plus fiables pour la précision des sens. C'est un dictionnaire bilingue occitan-français, en deux grands volumes, englobant l'ensemble des dialectes d'oc, et en graphie mistralienne

Source : wikipedia